8 avril 2016
Un article récemment écrit par ce site mérite attention. Voici ce qu’il nous raconte, transmis par Lee Euler :
Il semblerait que juste trois pour cent des patients avec un cancer de prostate avancé survivent cinq ans. Peut-on faire mieux ?
La question a été posée par Ben L. Pfeiffer, docteur en médecine, naturopathe, et directeur de recherche clinique à la Clinique Aeskulap en Suisse. Il est un oncologue intégratif avec plus de 30 années d’expérience sur l’utilisation des thérapies à la fois conventionnelles et complémentaires.
En septembre 2015 il est allé à Londres pour présenter ses protocoles de traitement pour le cancer de la prostate aux derniers stades, c’est-à-dire métastasé. Notre correspondant à Londres y a assisté. Voici ce que le Dr Pfeiffer a rapporté…
Après avoir examiné les statistiques des faibles pronostics pour ceux qui sont porteurs d’un cancer de la prostate métastasé, le Dr Pfeiffer n’était en aucune façon opposé aux traitements conventionnels. En fait, il a passé quelque temps à observer les avancées de telles thérapies et a dit que de nombreux nouveaux médicaments ont été mis sur le marché, certains d’entre eux ayant montré qu’ils prolongeaient la vie avec peu d’effets secondaires.
Une approche holistique est nécessaire
A son avis, les thérapies conventionnelles de pointe devraient être utilisées. Cependant, une approche holistique est aussi nécessaire. Les oncologues devraient considérer les interventions alimentaires, les programmes d’exercice physique et la thérapie psycho-oncologique.
Il recommande aussi des thérapies anti-oxydation, anti-inflammatoires et anti-angiogenèse, aussi bien que la détoxification, la phytothérapie ainsi que le soutien et l’équilibre du système immunitaire.
« Ils devraient examiner notre travail au long de 15 années et voir les bénéfices qu’ils pourraient en retirer pour leurs patients. S’ils le faisaient, ils pourraient gagner du temps en transformant la maladie en un état chronique pour le patient. »
80 à 90% de tous les cancers sont causés par des facteurs environnements (toxines pétrochimiques et métaux lourds, par exemple), mauvais choix de mode de vie (cigarette, boisson, drogues récréatives, stress prolongé) et mauvaise nutrition (aliments sans valeur nutritionnelle).
« Choisissez la mauvaise nutrition et vous êtes assez fou pour croire que votre cancer s’en ira.«