5 octobre 2017
Vous connaissez probablement déjà une partie de l’histoire de cette « nourriture des Dieux » qu’est le chocolat… mais il ne serait pas surprenant que vous complétiez vos connaissances en lisant l’article ci-dessous, très complet, tout en étant passionnant. Vous y découvrirez même la recette de chocolat tel qu’on le préparait en 1753, et qu’il est encore possible de le préparer si le cœur vous en dit : on vous en donne une recette actualisée ! (mais aussi notre recette d’un « mole » vegan et cru)
Voici donc la traduction que j’ai faite de ce très long article :
Les cacaoyers (CACAO = Theobroma ssp./Sterculiaceae) ont une apparence très distinctive : bien que n’étant pas particulièrement de grands arbres, avec une moyenne de 10 à 20 m de hauteur, leurs troncs, comme beaucoup d’arbres de la forêt tropicale humide, ont une écorce rugueuse, brun-gris, qui est habituellement couverte de différents lichens et champignons colorés. Les feuilles matures sont larges et brillantes, mais les jeunes feuilles sont souples et rougeâtres, devenant graduellement vertes et dures au fil de leur croissance.
Comme le cacaoyer ne se dégarnit jamais, toutes ses feuilles jeunes et adultes se retrouvent poussant côte-à-côte sur le même arbre. Il est dit que l’apparence souple des jeunes feuilles sert de sorte de mécanisme de défense passive signalant à des prédateurs potentiels qu’elles ne valent pas la peine d’être grignotées. Beaucoup plus frappante cependant est l’apparence de ses fleurs et de ses fruits qui émergent directement du tronc et des plus vieilles branches.
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